NOTRE LIGNE DIRECTE A ÉTÉ SUPPRIMÉE
Nous exigeons son rétablissement immédiat
Le problème en chiffres
La suppression de la ligne directe a des conséquences graves pour les habitants
de temps de trajet en moyenne avec les correspondances
de surcoût pour les familles contraintes de prendre la voiture (Ledenon)
habitants privés de mobilité équitable dans les 3 villages
lycéens, étudiants, apprentis et jeunes actifs impactés quotidiennement
Le saviez-vous ?
L'impact concret sur les familles
Depuis Ledenon
Pour rejoindre la ligne de bus
Pour un parent qui va chercher son enfant :
- 18,4 km aller-retour quotidien
- ~1,80€ de carburant par jour
- 4,8 kg de CO2 émis par jour
- 22 minutes perdues par jour
- 3 trajets par semaine = 4h24 par mois
Scénario 3 trajets/semaine - Sur une année scolaire (36 semaines) :
- 194€ de surcoût carburant
- 520 kg de CO2 supplémentaire
- 40 heures perdues dans les trajets
Scénario 5 trajets/semaine - Sur une année scolaire (36 semaines) :
- 324€ de surcoût carburant
- 864 kg de CO2 supplémentaire
- 66 heures perdues dans les trajets
Depuis Cabrières
Pour rejoindre la ligne de bus
Pour un parent qui va chercher son enfant :
- 12 km aller-retour quotidien
- ~1,20€ de carburant par jour
- 3,1 kg de CO2 émis par jour
- 14 minutes perdues par jour
- 3 trajets par semaine = 2h48 par mois
Scénario 3 trajets/semaine - Sur une année scolaire (36 semaines) :
- 130€ de surcoût carburant
- 335 kg de CO2 supplémentaire
- 25 heures perdues dans les trajets
Scénario 5 trajets/semaine - Sur une année scolaire (36 semaines) :
- 216€ de surcoût carburant
- 558 kg de CO2 supplémentaire
- 42 heures perdues dans les trajets
Le paradoxe écologique
Nîmes Métropole nous FORCE à utiliser la voiture alors que nous voulions prendre le bus !
Trajets bus
+80 trajets voiture/jour
+1.000 tonnes CO2/an
L'équivalent de 500 allers-retours Paris-New York !
Rejoignez la mobilisation
Ensemble, nous pouvons faire entendre notre voix et rétablir une mobilité équitable pour tous.
Ils témoignent
Les habitants racontent l'impact de la suppression de la ligne directe sur leur quotidien